Naruto Shippuden : Évaluation de l’influence ultime des ninjas
Je dois avouer qu’avant de rédiger ce témoignage, je n’ai jamais donné à Naruto, en tant qu’entité, une chance équitable – en raison principalement de la dérision de mes amis lors de leurs crises de snobisme dans les anime. Mais je ne pouvais pas Je ne peux pas nier la réalité impure que je cachais : au fond de mon cœur, caché entre mes bons souvenirs de la série télévisée Tenchi Muyo et mon amour naissant pour la K-pop, un désir ardent de plonger à corps perdu dans le secteur des franchises Naruto se préparait.
Naruto Shippuden : Ultimate Ninja Impact a fini par être tout le déclencheur dont j’avais besoin. Malgré ses combats répétitifs et son IA adverse inadéquate, il agit comme un médicament portail pour les nouveaux arrivants de Naruto.
Ultimate Ninja Impact adhère à la série animée titulaire du début à la fin, frappant la série met en évidence dans le processus. Le gameplay de base doit beaucoup à Empire Warriors, vous plongeant dans un rythme de conception 1 contre 100 Emmenez-vous dans des batailles sur des terrains de jeu ouverts. Le projet principal propose 20 heures de contenu, au cours desquelles vous pouvez jouer et monter de niveau en tant qu’acteurs importants de personnages vivants tout en rassemblant et en fournissant des cartes d’amélioration des statistiques pour augmenter encore leurs capacités.Lire la suite roms-telecharger.com Sur la page Articles Si tu ‘ Si vous n’êtes pas d’humeur à faire beaucoup de présentations et de discussions, vous pouvez accéder aux paramètres d’objectif supplémentaire et de balise et résoudre le problème, soit par vous-même, soit avec un ami de manière ponctuelle.
Dès l’affichage du titre, j’ai découvert Ultimate Ninja Impact utilisent parfaitement l’activité de franchise Naruto. Les sélections de plats, la carte du monde et les scènes de dialogue sont toutes remplies d’images et de sons qui semblent idéaux dans la maison du monde Naruto. Des morceaux bien produits en anglais et en japonais complètent le package et m’ont aidé à m’immerger complètement dans le jeu. » l’intrigue. Bien que Naruto et Sasuke soient les plus marquants, le jeu vidéo fait également un excellent travail en incluant les histoires d’autres personnalités et les rend étonnamment engageantes en plus. Je me suis retrouvé à en acheter quelques-uns à tel point que je Honnêtement, j’ai hâte de les satisfaire tout au long de mon désormais inévitable marathon de vérification de Naruto.
Ce traitement attentionné du produit source se retrouve dans le combat où chaque personnalité… Les actions de signature de Naruto sont affichées sur un écran époustouflant avec des animations informatiques fluides et la même palette de couleurs dynamiques pour laquelle Naruto est connu. Alors que vous faites des vagues Rasengan et des vagues de ninjas adversaires jusqu’au code postal suivant, d’autres personnalités participent avec leurs idées et leurs observations sur le scénario en question. Bien que ceux-ci puissent commencer à se répéter au cours de batailles plus longues, ils aident à préserver le ton de l’intrigue entre les séries d’histoires. Cela m’a permis de rester concentré sur la tâche disponible, même lorsque j’avais l’impression de faire le même point que le dernier objectif et l’objectif précédent.
Naruto Shippuden m’a donné ce sentiment très souvent. Bien que le jeu fournisse beaucoup de matériel dans les modes principal et ajouté, la nature superficielle et répétée du combat dévalorise un peu ce matériel. Ne’ Ne vous méprenez pas, dévoiler des techniques secrètes incroyables sur des foules d’adversaires malchanceux m’a vraiment semblé profondément amusant et m’a fait me sentir comme un vrai dur à cuire du Jinchuriki, mais les batailles fréquemment recyclées et les objectifs objectifs ont commencé à me donner un déjà-vu assez rapidement.
La pauvre IA de l’adversaire, parfois brisée, n’a pas réussi à le faire. Cela n’aide pas non plus, en particulier au sein des grandes équipes d’ennemis mineurs que vous combattez régulièrement. Non seulement ils pratiquent des activités très limitées, mais ils semblent également avoir une aversion pour la violence. De plus, lorsque je suis entouré d’une centaine d’ennemis ou plus, je peux m’y reposer en toute sécurité et recharger mon chakra, cuisiner un gâteau ou simplement regarder l’espace, protégé par l’expertise que je ferais probablement. ne pas être frappé.
Mentionner le fait de regarder directement dans l’espace, c’est… C’est ce que les archers adverses dans ce jeu aiment faire beaucoup. Au cours d’une bataille, je découvrais une équipe d’entre eux regroupés les uns avec les autres, ne faisant rien et me regardant de manière catatonique, attendant que l’on approuve le présent de l’intelligence artificielle pour s’assurer qu’ils puissent faire autre chose que la recherche pendant que je les massacrais ainsi que leurs partenaires. Hélas, leur cadeau ne viendrait jamais.
Les personnalités du sous-patron et du manager s’en sont bien mieux tirées, poussant fortement l’assaut et utilisant leur propre ensemble de techniques de jutsu fantaisistes et dommageables. Bien que certainement encore plus difficiles, ils semblaient tous vraiment comparables les uns aux autres et étaient répétés plusieurs fois de trop chacun. Après avoir vaincu le même sous-boss pour la troisième fois dans le même niveau, ses protestations constantes contre ma capacité à le battre ont commencé à sonner un peu creux, d’autant plus qu’il utilisait les mêmes stratégies que les 3 derniers. farceurs avant lui. Même si aucune de ces imperfections n’a empêché le combat d’être amusant, elles l’ont néanmoins empêché d’être aussi profond et gratifiant qu’il aurait pu et aurait dû l’être.
Verdict
Naruto Shippuden : Ultimate Ninja Impact propose une aventure amusante et pleine d’action. Il saisit l’importance de la franchise et propose une quête principale approfondie avec de nombreuses heures de travail de niveau et d’accumulation de cartes à apprécier plus tard. Même en tant que non-fan et sans aucun accessoire préalable pour les personnages, c’était un bon moment – au diable l’IA et la portée des objectifs inadéquates. En tant que fan de jeux d’action, j’ai trouvé les combats satisfaisants mais tout aussi simples et répétitifs. Pourtant, en tant que personne qui apprécie également les bonnes histoires et les personnages remarquables, je pense qu’Ultimate Ninja Impact vous satisfait.
Posted: December 10, 2024 9:16 am
According to Agung Rai
“The concept of taksu is important to the Balinese, in fact to any artist. I do not think one can simply plan to paint a beautiful painting, a perfect painting.”
The issue of taksu is also one of honesty, for the artist and the viewer. An artist will follow his heart or instinct, and will not care what other people think. A painting that has a magic does not need to be elaborated upon, the painting alone speaks.
A work of art that is difficult to describe in words has to be seen with the eyes and a heart that is open and not influenced by the name of the painter. In this honesty, there is a purity in the connection between the viewer and the viewed.
As a through discussion of Balinese and Indonesian arts is beyond the scope of this catalogue, the reader is referred to the books listed in the bibliography. The following descriptions of painters styles are intended as a brief introduction to the paintings in the catalogue, which were selected using several criteria. Each is what Agung Rai considers to be an exceptional work by a particular artist, is a singular example of a given period, school or style, and contributes to a broader understanding of the development of Balinese and Indonesian paintng. The Pita Maha artist society was established in 1936 by Cokorda Gde Agung Sukawati, a royal patron of the arts in Ubud, and two European artists, the Dutch painter Rudolf Bonnet, and Walter Spies, a German. The society’s stated purpose was to support artists and craftsmen work in various media and style, who were encouraged to experiment with Western materials and theories of anatomy, and perspective.
The society sought to ensure high quality works from its members, and exhibitions of the finest works were held in Indonesia and abroad. The society ceased to be active after the onset of World War II. Paintings by several Pita Maha members are included in the catalogue, among them; Ida Bagus Made noted especially for his paintings of Balinese religious and mystical themes; and Anak Agung Gde Raka Turas, whose underwater seascapes have been an inspiration for many younger painters.
Painters from the village of Batuan, south of Ubud, have been known since the 1930s for their dense, immensely detailed paintings of Balinese ceremonies, daily life, and increasingly, “modern” Bali. In the past the artists used tempera paints; since the introduction of Western artists materials, watercolors and acrylics have become popular. The paintings are produced by applying many thin layers of paint to a shaded ink drawing. The palette tends to be dark, and the composition crowded, with innumerable details and a somewhat flattened perspective. Batuan painters represented in the catalogue are Ida Bagus Widja, whose paintings of Balinese scenes encompass the sacred as well as the mundane; and I Wayan Bendi whose paintings of the collision of Balinese and Western cultures abound in entertaining, sharply observed vignettes.
In the early 1960s,Arie Smit, a Dutch-born painter, began inviting he children of Penestanan, Ubud, to come and experiment with bright oil paints in his Ubud studio. The eventually developed the Young Artists style, distinguished by the used of brilliant colors, a graphic quality in which shadow and perspective play little part, and focus on scenes and activities from every day life in Bali. I Ketut Tagen is the only Young Artist in the catalogue; he explores new ways of rendering scenes of Balinese life while remaining grounded in the Young Artists strong sense of color and design.
The painters called “academic artists” from Bali and other parts of Indonesia are, in fact, a diverse group almost all of whom share the experience of having received training at Indonesian or foreign institutes of fine arts. A number of artists who come of age before Indonesian independence was declared in 1945 never had formal instruction at art academies, but studied painting on their own. Many of them eventually become instructors at Indonesian institutions. A number of younger academic artists in the catalogue studied with the older painters whose work appears here as well. In Bali the role of the art academy is relatively minor, while in Java academic paintings is more highly developed than any indigenous or traditional styles. The academic painters have mastered Western techniques, and have studied the different modern art movements in the West; their works is often influenced by surrealism, pointillism, cubism, or abstract expressionism. Painters in Indonesia are trying to establish a clear nation of what “modern Indonesian art” is, and turn to Indonesian cultural themes for subject matter. The range of styles is extensive Among the artists are Affandi, a West Javanese whose expressionistic renderings of Balinese scenes are internationally known; Dullah, a Central Javanese recognized for his realist paintings; Nyoman Gunarsa, a Balinese who creates distinctively Balinese expressionist paintings with traditional shadow puppet motifs; Made Wianta, whose abstract pointillism sets him apart from other Indonesian painters.
Since the late 1920s, Bali has attracted Western artists as short and long term residents. Most were formally trained at European academies, and their paintings reflect many Western artistic traditions. Some of these artists have played instrumental roles in the development of Balinese painting over the years, through their support and encouragement of local artist. The contributions of Rudolf Bonnet and Arie Smit have already been mentioned. Among other European artists whose particular visions of Bali continue to be admired are Willem Gerrad Hofker, whose paintings of Balinese in traditional dress are skillfully rendered studies of drapery, light and shadow; Carel Lodewijk Dake, Jr., whose moody paintings of temples capture the atmosphere of Balinese sacred spaces; and Adrien Jean Le Mayeur, known for his languid portraits of Balinese women.
Agung Rai feels that
Art is very private matter. It depends on what is displayed, and the spiritual connection between the work and the person looking at it. People have their own opinions, they may or may not agree with my perceptions.
He would like to encourage visitors to learn about Balinese and Indonesian art, ant to allow themselves to establish the “purity in the connection” that he describes. He hopes that his collection will de considered a resource to be actively studied, rather than simply passively appreciated, and that it will be enjoyed by artists, scholars, visitors, students, and schoolchildren from Indonesia as well as from abroad.
Abby C. Ruddick, Phd
“SELECTED PAINTINGS FROM THE COLLECTION OF THE AGUNG RAI FINE ART GALLERY”
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